Chapitre 206

Delilah :

L'air extérieur était froid, la nuit mordait ma peau.

J'étais assise seule sur les marches du porche, les bras enroulés autour de mes genoux, fixant la ligne des arbres. Le monde semblait suspendu, comme si quelque chose approchait, mais personne n'osait le nommer. Tout autour était somb...

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