Chapitre 208

Delilah :

La lumière qui filtrait à travers les rideaux était douce, chaude, comme si elle n'avait pas encore décidé de réveiller le monde. Je plissai les yeux en luttant contre l'envie de les ouvrir. Je ne voulais pas. Pendant quelques instants, je voulais juste rester allongée.

Je me tournai len...

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