178. Depuis toujours.

Je hoche la tĂȘte, un petit geste triste, alors que je me prĂ©pare pour la confrontation, pour les cris, la tempĂȘte que je l'ai vu dĂ©chaĂźner sur SĂ©bastien dans l'escalier de l'hĂŽpital. Je me prĂ©pare Ă  la colĂšre, Ă  la dĂ©ception, au regard de trahison et de dĂ©goĂ»t...

Mais ce qui vient Ă  la place n'est...

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