195. CHRISTOPHE H. (POV)

Pour un instant, le son, les gens—tout autour de moi disparaüt.

Je n'entends plus les bips du moniteur cardiaque, ni les murmures des infirmiĂšres dans le couloir, ni les yeux fous fixĂ©s sur moi
 seulement l'Ă©cho de cette phrase, brute, directe, mortelle, rĂ©sonnant dans ma tĂȘte, mĂȘlĂ©e aux souvenirs...

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