58. [...] REGARDEZ-MOI

Mon corps se sent lourd, et mĂȘme si j'essaie de le bouger, je n'y arrive pas — mon bras bouge tout seul. Ma main tremblante retire le voile de ma coiffure parfaite, le laissant tomber au sol sans aucune prĂ©caution, tandis que mes yeux fixent le miroir qui reflĂšte la piĂšce vide et ma robe de mariĂ©e i...

Connectez-vous et continuez la lecture