82. CHRISTOPHE H. (POV)

Les mots restent en suspens, lourds et définitifs, se tordant dans l'air vicié comme de la fumée.

Marshall laisse le silence s'installer, le savourant. Il ne cligne pas des yeux, ne respire pas... il me regarde simplement comme si j'Ă©tais une crĂ©ature pathĂ©tique qui a finalement admis ĂȘtre trop fati...

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