Chapitre 350

Le soleil était haut, inondant de lumière les hautes fenêtres du dortoir, dessinant des carrés pâles sur le sol. Il devait être près de treize heures, bien qu'Alaric ne remarquât à peine les heures qui passaient. Ses livres étaient toujours ouverts sur le bureau, des notes griffonnées d'une main qui...

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