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LYRIC

Mais une minute passa et Jaris ne m'attaqua pas. Non. Il resta complètement immobile. Et avec le temps, je remarquai qu'il se calmait, les soubresauts devenaient de moins en moins fréquents.

Je mouillai son dos avec mes larmes. C'était difficile d'imaginer ce qu'il devait traverser. Mon Dieu...

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