Chapitre CLXIV : Rien que de la vertu

Isabella était allongée à côté d'Alaric, son corps encore chaud et rougi par leur passion partagée. La chambre était sombre, éclairée seulement par la douce lueur de la lune filtrant à travers les rideaux. Le bras d'Alaric reposait possessivement autour de sa taille, sa respiration s'approfondissant...

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