deux cent cinquante et un

Le jardin était devenu mon refuge.

Quand les murs de la maison se refermaient, quand le chagrin pesait trop lourd sur ma poitrine et que le sommeil refusait de venir, je me glissais dans le silence des haies et des roses. Ce soir ne faisait pas exception. L'air du matin était frais, avec un léger pa...

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