CHAPITRE 110 — Illusions brisées

Blayze

Les cauchemars ne se sont jamais vraiment arrêtés.

Parfois, c’est sa voix que j’entends—la voix d’Elara—résonner dans l’obscurité. Appelant mon nom. D'autres fois, c’est le chiot. Un rire. Un cri. Un souvenir que je ne savais même pas avoir.

Ça a commencé par des éclairs, comme du verre br...

Connectez-vous et continuez la lecture