Chapitre quatre cent soixante et un

POLLY

Quand les stores de Lief se baissent, c'est comme si je pouvais enfin bouger et je monte les escaliers vers la chambre principale, allumant toutes les lumières en chemin. Le son de cette femme sauvage criant des obscénités semble ricocher entre les maisons, les murs créant une chambre d'a...

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