CHAPITRE 200

Le bureau commençait à se vider, le soleil de fin d'après-midi perçant par les hautes fenêtres en des rayons dorés qui dansaient sur le sol poli. Des particules de poussière flottaient paresseusement dans la lumière, et l'odeur persistante de parchemin et de pin imprégnait l'air. Saphira s'appuyait ...

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