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Il était un peu plus de huit heures quand je suis retournée dans la chambre de Kenzo. Il était étendu de tout son long sur son lit, son corps délicieusement musclé à peine dissimulé par les draps fins. Dès que je suis entrée, il a bougé, ses lèvres se courbant en un sourire taquin alors qu’il m’invi...

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